Brisby et le secret de NIMH
3 participants
Les Sales Gosses :: Les Sales Gosses et L'animation en tout genre :: Les plus grands chefs d'oeuvres de l'animation
Page 1 sur 1
Brisby et le secret de NIMH
Bon, je ne sais pas faire des belles fiches comme Obarian, désolée...
Mais c'est un film qui a marqué mon enfance meme si je ne l'ai vu qu'une seule fois... C'est le premier film d'animation de Don Bluth (le petit dinosaure) et franchement il n'a rien a envier à disney. C'est beau, touchant, effrayant, drole, intelligent... Bref tout ce qu'il faut pour en faire un succès meme si justement, ça n'en a pas eu tant que ça a sa sortie en 1982.
J'ai ecouter longtemps l'histoire sur ma K7 audio... J'assimile toujours les forets sombres et profondes à celle du grand hibou (terrifiant !!) et m'arrive me regarder les buissons de rosier en me demandant ce qu'ils peuvent bien abriter...
Mon seul regret est de ne plus l'avoir jamais revu... :(
Et vous, vous l'avez vu ?
Mais c'est un film qui a marqué mon enfance meme si je ne l'ai vu qu'une seule fois... C'est le premier film d'animation de Don Bluth (le petit dinosaure) et franchement il n'a rien a envier à disney. C'est beau, touchant, effrayant, drole, intelligent... Bref tout ce qu'il faut pour en faire un succès meme si justement, ça n'en a pas eu tant que ça a sa sortie en 1982.
J'ai ecouter longtemps l'histoire sur ma K7 audio... J'assimile toujours les forets sombres et profondes à celle du grand hibou (terrifiant !!) et m'arrive me regarder les buissons de rosier en me demandant ce qu'ils peuvent bien abriter...
Mon seul regret est de ne plus l'avoir jamais revu... :(
Et vous, vous l'avez vu ?
Re: Brisby et le secret de NIMH
Bon, je vais essayer de faire ça bien comme vous...
Genre : dessin animé
Année : 1982
Réalisateur : Don Bluth
L'histoire :
Timothy, dernier né de Mme Brisby, la jeune souris veuve du défunt et héroïque Jonathan Brisby, est tombé très gravement malade. Comble de malchance, le fermier du coin ne va plus tarder à labourer son champ, mettant donc en péril l'habitation de la famille souris. Il va falloir déménager mais avec le froid qui s'annonce, impossible d'envisager de sortir Timothy qui doit impérativement rester au chaud !!
Desespérée, Brisby, aidée par le déjanté corbeau Jérémy, va trouver l'effrayant Grand Hibou, source de sagesse et de savoir, qui lui conseille d'aller quérir de l'aide auprès des rats de Nimh, des animaux à l'intelligence accrue par des manipulations génétiques...
Et je vous mets une critique trouvée sur http://www.hallucinez.com/
"La situation est grave, le fermier va bientôt labourer le champ où se trouve la maison dans laquelle vivent la souris Brisby et sa famille. Son fils Timothée est gravement malade et ne peut quitter le lit, Mme Brisby se trouve contrainte de se rendre chez les rats pour leur demander de déplacer sa maison.
Ne vous fiez pas à ce résumé, si je consacre une place dans cette rubrique au film de Don Bluth ce n’est pas pour rien, c’est que je considère qu’il possède de réelles qualités, à commencer par son scénario. Vous avez bien lu, contrairement à l’impression que peut laisser mon misérable résumé, le scénario de ce dessin animé tire plutôt bien son épingle du jeu. Bien sûr, ce n’est pas un modèle de complexité, ce n’est pas ce qu’il y a de plus cérébral, mais il s’agit d’un film avant tout destiné à un jeune public, le scénario est donc nécessairement simple, afin d’être accessible à tous. Simple mais pas simpliste, et c’est là selon moi que réside sa principale qualité. Le scénariste a réussi à pondre une histoire très équilibrée qui ne devrait ennuyer quasiment personne. Il nous montre une héroïne qui devra faire face à une multitude de menaces aussi bien fourbes que franches. L’amour, évidemment présent, est pour sa part traitée de manière assez conventionnelle, mais ne fait pas sombrer le film dans le mélodrame, les personnages ne s’épuisent pas en pleurnicheries et l’histoire d’amour se fait même assez discrète.
Mme Brisby, par amour pour son fils devra se surpasser pour vaincre ses peurs et trouver le courage d’aller voir les rats, et ce, afin de réclamer leur aide pour déplacer sa maison. Ceux-ci sont doués d’une intelligence prodigieuse et sont les seuls capables de lui venir en aide. C’est précisément dans le repère des rats que la frontière "gentils/méchants" est la plus trouble : ici se côtoient l’amour et la haine, la sagesse et la soif de pouvoir, la douceur et la brutalité, la démocratie et la tyrannie, l’honnêteté et la trahison. Le film expose donc une trame bel et bien manichéenne, mais de manière moins basique et moins grasse que d’accoutumé, il n’en n’est que plus subtil et moins "gnangnan" (pardonnez moi le terme), ce qui, je vous assure, fait plaisir à voir.
Pour en finir avec le scénario, le seul regret que j’émettrais concerne l’évolution un peu rapide de la situation une fois arrivée aux 3/4 du film (le combat qui tourne court…etc.). Est-ce réellement une tare ? Selon moi non, ça ne fait que confirmer le fait que le film ne met pas l’accent sur la même chose que les réalisations concurrentes, qui privilégient l’action et l’amour. Mais ceux qui sont assoiffés d’action trépidante et d’affrontement épiques risquent d’être déçus, non pas qu’il n’y ait pas d’action, mais le réalisateur temporise beaucoup (et bien), ce qui donne au film une certaine constance, une fluidité dans son déroulement.
En ce qui concerne les personnages, on ne peut que saluer l’effort fait sur la beauté de ceux-ci. Et paradoxalement, l’intérêt majeur du spectateur ne va pas pour le personnage central (Brisby), mais pour les personnages secondaires (pas tous non plus, faut pas exagérer). Certains personnages non seulement le fait qu’ils sont, esthétiquement parlant, très beaux, mais aussi et surtout qu’ils sont gorgés de mystère (Nicodémus et le Hibou). Le réalisateur gonfle leur dimension mystique en les éclipsant assez rapidement, ce qui laisse le spectateur un peu frustré, mais ce procédé a fait ses preuves et s’avère éminemment efficace. Ensuite on trouve pêle-mêle Justin, l’éternel prince charmant qui garde toujours à l’esprit les valeurs de respect et d’honnêteté, néanmoins on évite la caricature du personnage quasi parfait; Un corbeau, aussi idiot qu’agaçant qui trouve son importance grâce à son caractère quelque peu…décalé, par ses gaffes toutes plus débiles les unes que les autres, mais aussi car il est le reflet de la morale dégagée par le film, mais avec une légèreté tout autre, via une histoire de drague laborieuse; Et enfin Jenner est un rat doté de l’esprit tordu propre à tout méchant qui se respecte, qui tentera de prendre le pouvoir en usant des méthodes les plus pendables. On regrette sa relative banalité par rapport aux autres protagonistes, mais mis à part celui-ci, on ne peut qu’être admiratif face à d’aussi beaux personnages.
Attaquons-nous désormais à l’aspect technique et esthétique du film. Pour ce qui est du graphisme, le spectacle qui nous est offert est magnifique. L’univers qui y est peint est un mélange de réalisme et de merveilleux. Des éléments fantastiques introduits dans un cadre réaliste. Ainsi on admire les avancées techniques des rats (électricité, etc.) qui donnent lieu à une débauche de lumières au sein même de leur repère. Ce qui m’amène à vous parler d’un des effets esthétiques les plus beaux du film : les lumières colorées. Celles-ci y sont omniprésentes, des sources de lumières roses, bleues, jaunes, vertes qui peignent une sorte de patchwork lumineux. Les associations de couleurs sont parfois surprenantes et écorchent même un peu l’œil de temps à autres. Mais à quelques exceptions près, ce parti pris esthétique étonne et réjouit le spectateur. Le dessin a certes un peu vieilli, mais il conserve un charme et une dimension poétique indéniables. En tout cas, ça a nettement plus de caractère que les nouvelles tendances de dessin anguleux dont Disney affuble ses dernières productions. Pour en terminer avec l’aspect technique, je tiens à souligner la très bonne qualité des doublages Français qui donnent du corps aux différents personnages (Bien que les dialogues restent assez limités…) Et, cadeau du ciel, le film n’est pas gangrené par les scènes de comédie musicale pénibles, comme il est coutume de voir dans les réalisations américaines (qui a encore parlé de Disney ?).
Enfin, un petit mot sur ce qui est indissociable d’un dessin animé visant un jeune public : la morale de l’histoire. Et bien il s’agit essentiellement de faire comprendre que la vraie valeur d’un être quel qu’il soit ne se voit pas par ce qu’il possède, par l’étendue de ses richesses, mais bel et bien par la noblesse de ses actes. Il s’agit de privilégier la richesse d’âme et la beauté intérieure, les sentiments et les intentions pures. Mais c’est aussi un message de sensibilisation à la cohabitation du monde animal et de l’Homme dans un même monde, l’Homme qui ne peut s’empêcher de s’étendre sur le monde entier au détriment de la nature, et qui en vient même à se servir des animaux pour leur faire subir des expériences. Bref, rien que du très classique pour la belle morale qu’il faut inculquer à nos chers bambins. Mais là n’est pas l’important. Ici, c’est la façon dont le message est transmis qui importe, ce que le réalisateur a fait, croyez moi, d’une fort belle manière.
Vous l’aurez compris, ce dessin animé n’est certes pas parfait, mais il cumule d’indéniables qualités : des personnages magnifiques, une esthétique soignée dans un cadre "réaliste" sublimé à grandes doses de merveilleux. Si, selon moi, ce film se détache de la masse, c’est surtout grâce à son ton inhabituel dans une telle "catégorie" qui en fait, non pas un film adulte, mais un film plaisant pour tous : extraordinaire pour les enfants, fascinant pour les adultes qui acceptent de se laisser bercer au cœur d’un univers haut en couleur. Voilà certainement les raisons de son succès, il ne faut donc pas s’étonner de sa diffusion à la télévision en périodes de fêtes, au contraire, il faut sauter dessus sans hésiter."
et quelques photos (puisque celles d'Obarian, je ne les vois toujours pas...)
Mme Brisby et Jérémy le corbeau :
Mme Brisby et le Dr. Ages :
Mme Brisby et le mystérieux Nicodémus...
Voix françaises :
Jane Val : Brisby (Venusia dans Goldorak )
Micheline Dax : Tante Musaraigne
Georges Atlas : Grand Hibou
Jacques Balutin : Jérémy
Marc François : M Ages
Jean Martinelli : Nicodémus
Jean Violette : Jenner
Guy Chapelier : Justin
Genre : dessin animé
Année : 1982
Réalisateur : Don Bluth
L'histoire :
Timothy, dernier né de Mme Brisby, la jeune souris veuve du défunt et héroïque Jonathan Brisby, est tombé très gravement malade. Comble de malchance, le fermier du coin ne va plus tarder à labourer son champ, mettant donc en péril l'habitation de la famille souris. Il va falloir déménager mais avec le froid qui s'annonce, impossible d'envisager de sortir Timothy qui doit impérativement rester au chaud !!
Desespérée, Brisby, aidée par le déjanté corbeau Jérémy, va trouver l'effrayant Grand Hibou, source de sagesse et de savoir, qui lui conseille d'aller quérir de l'aide auprès des rats de Nimh, des animaux à l'intelligence accrue par des manipulations génétiques...
Et je vous mets une critique trouvée sur http://www.hallucinez.com/
"La situation est grave, le fermier va bientôt labourer le champ où se trouve la maison dans laquelle vivent la souris Brisby et sa famille. Son fils Timothée est gravement malade et ne peut quitter le lit, Mme Brisby se trouve contrainte de se rendre chez les rats pour leur demander de déplacer sa maison.
Ne vous fiez pas à ce résumé, si je consacre une place dans cette rubrique au film de Don Bluth ce n’est pas pour rien, c’est que je considère qu’il possède de réelles qualités, à commencer par son scénario. Vous avez bien lu, contrairement à l’impression que peut laisser mon misérable résumé, le scénario de ce dessin animé tire plutôt bien son épingle du jeu. Bien sûr, ce n’est pas un modèle de complexité, ce n’est pas ce qu’il y a de plus cérébral, mais il s’agit d’un film avant tout destiné à un jeune public, le scénario est donc nécessairement simple, afin d’être accessible à tous. Simple mais pas simpliste, et c’est là selon moi que réside sa principale qualité. Le scénariste a réussi à pondre une histoire très équilibrée qui ne devrait ennuyer quasiment personne. Il nous montre une héroïne qui devra faire face à une multitude de menaces aussi bien fourbes que franches. L’amour, évidemment présent, est pour sa part traitée de manière assez conventionnelle, mais ne fait pas sombrer le film dans le mélodrame, les personnages ne s’épuisent pas en pleurnicheries et l’histoire d’amour se fait même assez discrète.
Mme Brisby, par amour pour son fils devra se surpasser pour vaincre ses peurs et trouver le courage d’aller voir les rats, et ce, afin de réclamer leur aide pour déplacer sa maison. Ceux-ci sont doués d’une intelligence prodigieuse et sont les seuls capables de lui venir en aide. C’est précisément dans le repère des rats que la frontière "gentils/méchants" est la plus trouble : ici se côtoient l’amour et la haine, la sagesse et la soif de pouvoir, la douceur et la brutalité, la démocratie et la tyrannie, l’honnêteté et la trahison. Le film expose donc une trame bel et bien manichéenne, mais de manière moins basique et moins grasse que d’accoutumé, il n’en n’est que plus subtil et moins "gnangnan" (pardonnez moi le terme), ce qui, je vous assure, fait plaisir à voir.
Pour en finir avec le scénario, le seul regret que j’émettrais concerne l’évolution un peu rapide de la situation une fois arrivée aux 3/4 du film (le combat qui tourne court…etc.). Est-ce réellement une tare ? Selon moi non, ça ne fait que confirmer le fait que le film ne met pas l’accent sur la même chose que les réalisations concurrentes, qui privilégient l’action et l’amour. Mais ceux qui sont assoiffés d’action trépidante et d’affrontement épiques risquent d’être déçus, non pas qu’il n’y ait pas d’action, mais le réalisateur temporise beaucoup (et bien), ce qui donne au film une certaine constance, une fluidité dans son déroulement.
En ce qui concerne les personnages, on ne peut que saluer l’effort fait sur la beauté de ceux-ci. Et paradoxalement, l’intérêt majeur du spectateur ne va pas pour le personnage central (Brisby), mais pour les personnages secondaires (pas tous non plus, faut pas exagérer). Certains personnages non seulement le fait qu’ils sont, esthétiquement parlant, très beaux, mais aussi et surtout qu’ils sont gorgés de mystère (Nicodémus et le Hibou). Le réalisateur gonfle leur dimension mystique en les éclipsant assez rapidement, ce qui laisse le spectateur un peu frustré, mais ce procédé a fait ses preuves et s’avère éminemment efficace. Ensuite on trouve pêle-mêle Justin, l’éternel prince charmant qui garde toujours à l’esprit les valeurs de respect et d’honnêteté, néanmoins on évite la caricature du personnage quasi parfait; Un corbeau, aussi idiot qu’agaçant qui trouve son importance grâce à son caractère quelque peu…décalé, par ses gaffes toutes plus débiles les unes que les autres, mais aussi car il est le reflet de la morale dégagée par le film, mais avec une légèreté tout autre, via une histoire de drague laborieuse; Et enfin Jenner est un rat doté de l’esprit tordu propre à tout méchant qui se respecte, qui tentera de prendre le pouvoir en usant des méthodes les plus pendables. On regrette sa relative banalité par rapport aux autres protagonistes, mais mis à part celui-ci, on ne peut qu’être admiratif face à d’aussi beaux personnages.
Attaquons-nous désormais à l’aspect technique et esthétique du film. Pour ce qui est du graphisme, le spectacle qui nous est offert est magnifique. L’univers qui y est peint est un mélange de réalisme et de merveilleux. Des éléments fantastiques introduits dans un cadre réaliste. Ainsi on admire les avancées techniques des rats (électricité, etc.) qui donnent lieu à une débauche de lumières au sein même de leur repère. Ce qui m’amène à vous parler d’un des effets esthétiques les plus beaux du film : les lumières colorées. Celles-ci y sont omniprésentes, des sources de lumières roses, bleues, jaunes, vertes qui peignent une sorte de patchwork lumineux. Les associations de couleurs sont parfois surprenantes et écorchent même un peu l’œil de temps à autres. Mais à quelques exceptions près, ce parti pris esthétique étonne et réjouit le spectateur. Le dessin a certes un peu vieilli, mais il conserve un charme et une dimension poétique indéniables. En tout cas, ça a nettement plus de caractère que les nouvelles tendances de dessin anguleux dont Disney affuble ses dernières productions. Pour en terminer avec l’aspect technique, je tiens à souligner la très bonne qualité des doublages Français qui donnent du corps aux différents personnages (Bien que les dialogues restent assez limités…) Et, cadeau du ciel, le film n’est pas gangrené par les scènes de comédie musicale pénibles, comme il est coutume de voir dans les réalisations américaines (qui a encore parlé de Disney ?).
Enfin, un petit mot sur ce qui est indissociable d’un dessin animé visant un jeune public : la morale de l’histoire. Et bien il s’agit essentiellement de faire comprendre que la vraie valeur d’un être quel qu’il soit ne se voit pas par ce qu’il possède, par l’étendue de ses richesses, mais bel et bien par la noblesse de ses actes. Il s’agit de privilégier la richesse d’âme et la beauté intérieure, les sentiments et les intentions pures. Mais c’est aussi un message de sensibilisation à la cohabitation du monde animal et de l’Homme dans un même monde, l’Homme qui ne peut s’empêcher de s’étendre sur le monde entier au détriment de la nature, et qui en vient même à se servir des animaux pour leur faire subir des expériences. Bref, rien que du très classique pour la belle morale qu’il faut inculquer à nos chers bambins. Mais là n’est pas l’important. Ici, c’est la façon dont le message est transmis qui importe, ce que le réalisateur a fait, croyez moi, d’une fort belle manière.
Vous l’aurez compris, ce dessin animé n’est certes pas parfait, mais il cumule d’indéniables qualités : des personnages magnifiques, une esthétique soignée dans un cadre "réaliste" sublimé à grandes doses de merveilleux. Si, selon moi, ce film se détache de la masse, c’est surtout grâce à son ton inhabituel dans une telle "catégorie" qui en fait, non pas un film adulte, mais un film plaisant pour tous : extraordinaire pour les enfants, fascinant pour les adultes qui acceptent de se laisser bercer au cœur d’un univers haut en couleur. Voilà certainement les raisons de son succès, il ne faut donc pas s’étonner de sa diffusion à la télévision en périodes de fêtes, au contraire, il faut sauter dessus sans hésiter."
et quelques photos (puisque celles d'Obarian, je ne les vois toujours pas...)
Mme Brisby et Jérémy le corbeau :
Mme Brisby et le Dr. Ages :
Mme Brisby et le mystérieux Nicodémus...
Voix françaises :
Jane Val : Brisby (Venusia dans Goldorak )
Micheline Dax : Tante Musaraigne
Georges Atlas : Grand Hibou
Jacques Balutin : Jérémy
Marc François : M Ages
Jean Martinelli : Nicodémus
Jean Violette : Jenner
Guy Chapelier : Justin
Re: Brisby et le secret de NIMH
Merci pour ton post.....ça à l'air pas mal comme disney....je connais pas du tout
Cyclope-
Nombre de messages : 906
Age : 40
Localisation : Strasbourg
Date d'inscription : 22/10/2005
Re: Brisby et le secret de NIMH
Cyclope a écrit:Merci pour ton post.....ça à l'air pas mal comme disney....
Ce n'est pas un disney justement !!
Re: Brisby et le secret de NIMH
Killarney a écrit:Cyclope a écrit:Merci pour ton post.....ça à l'air pas mal comme disney....
Ce n'est pas un disney justement !!
mais c'est pas marqué sur la pochette ???
Cyclope-
Nombre de messages : 906
Age : 40
Localisation : Strasbourg
Date d'inscription : 22/10/2005
Re: Brisby et le secret de NIMH
Ben c'est ecrit "le meilleur dessin animé depuis l'age d'or de Disney"... Mais je pense que c'est marketing, car ce n'est pas un dessin animé produit par Walt Disney.
Re: Brisby et le secret de NIMH
Killarney a écrit:Ben c'est ecrit "le meilleur dessin animé depuis l'age d'or de Disney"... Mais je pense que c'est marketing, car ce n'est pas un dessin animé produit par Walt Disney.
ah okiii
Cyclope-
Nombre de messages : 906
Age : 40
Localisation : Strasbourg
Date d'inscription : 22/10/2005
Re: Brisby et le secret de NIMH
ce DA est un joyaux ET TU PEUX LE TROUVER EN DVD POUR PR7S DE 9,95 EUROS.De plus il repasse souvent à la télé sur le cable
pipotin- Nombre de messages : 74
Localisation : paris
Date d'inscription : 18/03/2006
Re: Brisby et le secret de NIMH
pipotin a écrit:ce DA est un joyaux ET TU PEUX LE TROUVER EN DVD POUR PR7S DE 9,95 EUROS.De plus il repasse souvent à la télé sur le cable
Vi j'ai vu ca en cherchant de la doc...Faut que je me penche sur la question !! :D
Re: Brisby et le secret de NIMH
j'aime énormément ce DA car émane de ce film du mystère et de la poésie,enfin c'est un DA qui fait du bien
pipotin- Nombre de messages : 74
Localisation : paris
Date d'inscription : 18/03/2006
Re: Brisby et le secret de NIMH
Ayé je l'ai revu !! Comme c'etait beau... Je n'avais que de vagues souvenirs, ca m'a permis de mettre des images sur des scenes qui me paraissaient floues en ecoutant ma K7 audio...
Ouah, c'etait trop bien.... :a15:
Ouah, c'etait trop bien.... :a15:
Les Sales Gosses :: Les Sales Gosses et L'animation en tout genre :: Les plus grands chefs d'oeuvres de l'animation
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
|
|